Hier, j’ai reçu ma dernière commande de mangas du Japon.
Son contenu me fait tout particulièrement plaisir, puisqu’il s’agit des dernières sorties de Satoshi Shiki.
Je complète donc ma collection avec le tome 2 de The Devil Princess, les tomes 8 et 9 de Dororo and Hyakkimaru, mais aussi le numéro de novembre de Champion Red. C’est le magazine des débuts de Casshern R, avec la couverture et une page couleur illustrées par le mangaka, mais aussi le fascicule rendant hommage à la série originale Casshern. Pour un amateur de Satoshi Shiki comme moi, c’est une pièce de choix, mais aussi l’occasion de redécouvrir en grand format les premières pages de son dernier titre.
Je profite de cette réception pour parcourir de nouveau, sur papier cette fois, les derniers tomes des mangas de l’auteur. Mon coup de cœur reste Dororo and Hyakkimaru, qui bénéficie toujours de ses deux attachants protagonistes et de la dynamique qui s’est créée entre eux. Ces volumes couvrent deux arcs narratifs, l’un conséquent, l’autre plus court, et en amorcent un troisième, qui s’annonce déterminant si je me fie au récit original d’Osamu Tezuka.
Ma prochaine commande attendra la parution de nouveaux volumes reliés de Satoshi Shiki. Cela pourrait être le tome 3 de The Devil Princess, le tome 10 de Dororo and Hyakkimaru ou le tome 1 de Casshern R. Aucune date de sortie n’est connue pour aucun d’eux jusqu’ici, puisque leur prépublication débute tout juste (2 chapitres sur 8 pour le premier, 3 chapitres sur 6 ou 7 pour le deuxième, 2 chapitres pour le troisième).
D’un point de vue pratique, pour importer ces ouvrages, je suis passé par les services de la boutique en ligne CDJapan et, pour la livraison, de DHL. Les livres étaient en parfait état et bien protégés, le colis robuste, et les délais d’envoi et de réception rapides. Je suis donc satisfait des prestations de ces deux sociétés. Je n’hésiterai pas à repasser par elles à l’avenir.
Je termine avec quelques extraits des différents ouvrages reçus (si vous craignez les spoilers, n’allez pas plus loin). C’est l’occasion de vous donner un avant-goût en attendant une éventuelle version française (un jour, peut-être ; je continue de croiser les doigts).